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149 résultats trouvés pour ""

  • Stratégie offres TV payantes et concurrence - Opérateur télécom | 8pourcent

    < Back Stratégie offres TV payantes et concurrence - Opérateur télécom Stratégie Comment pérenniser le business model des offres TV payante opérateur et faire face à la concurrence issue des modèles digitaux type Netflix ? Benchmark, Roadmap, Business plan Actions Nous avons : Analysé les tendances techno, clients et concurrentielles pour imaginer le contexte client à 3 ans Identifié des gisements d’économies et les opportunités de revenus Dessiné des scénarios stratégiques crédibles Modélisé économiquement les différentes options Recommandé une stratégie business, tarifaire, servicielle, et économique Livrables Benchmark problématisé Roadmaps offres, produits, services Projection client & scénarios stratégiques Business Plan Previous Next

  • Assistants vocaux versus utilisateurs | 8pourcent

    < Back Clmence guerrier de Dumast Assistants vocaux versus utilisateurs Qui sont les assistants de qui ? < Back Transformation, Digital, IA « Ok Google, quelle heure est-il ?» « Il est 15h06 » Ce dialogue se déroule entre deux intelligences. Je « discute » avec mon assistant vocal. Au-delà des geekeries en tout genre et des opportunités business alléchantes, je m’interroge sur les réels bénéfices, aussi bien « pratiques » que « éthiques », de ces nouveaux invités dans nos maisons. Petit boitier en plastique, l’assistant vocal concentre des solutions épatantes d’intelligence artificielle et de reconnaissance vocale. Il obéit à la voix plutôt qu’au doigt. Je pose ma question et cette petite enceinte m’apporte la réponse. Enfin normalement. Tout ce petit monde fonctionne avec le Wi-fi, minutieusement orchestré par les GAFA. Pas de jaloux, chacun le sien : Alexa pour Amazon, Google Home pour Google, HomePod pour Apple, Invoke pour Microsoft… Côté business, le Web vocal est au cœur de marchés sous-jacents très lucratifs avec des externalités positives pour ces GAFA : e-commerce, services multimédia (musique, jeux vidéo, …), ventes de données utilisateurs et publicités. Mon expérience de discussion avec des assistants vocaux me laisse croire à des marges de progression intéressantes pour parvenir à me convaincre. Pour une utilisation basico-basique, ça fait le job. Mais, curiosité oblige et passion de la discussion, dès que je pose des questions plus « complexes », c’est à moi de m’adapter au « cerveau » de mon assistant vocal. Je dois trouver la bonne façon de poser ma question pour espérer obtenir la réponse recherchée … Je deviens donc l’assistant de mon assistant. Contre-intuitif ! En effet, les assistants vocaux se concentrent uniquement sur les mots clés au détriment de la bonne syntaxe ou du langage naturel, pourtant essentiel dans tout dialogue. Comment ce petit boitier, gentiment posé sur ma gondole, mais véritable espion de mon quotidien, utilise toutes les informations qu’il capte ? Nous sommes bien loin de la devise des assistants : « Tout entendre et ne rien dire ». Car, parait-il, les GAFA revendent ces données à des fins publicitaires. Par conséquence, l’assistant vocal me propose une seule façon de voir les choses en me proposant une réponse unique car : les annonceurs paient pour être cités avant ou à la place d’un autre, les éditeurs privilégient leurs services. C’est pourtant tellement enrichissant d’être face à une diversité de points de vue. Discuter avec son assistant vocal, c’est surtout être conscient d’interagir avec une intelligence qui n’est pas absolue mais artificielle… et qui repose avant tout sur des cerveaux humains indispensables et irremplaçables, dotés d’esprit critique et de qualités relationnelles. Vous l'aimé ? Donnez une note Je n'aime pas Pas super Satisfaisant Très bien J'adore Previous Next

  • Faut-il céder aux sirènes du direct-to-consumer ? | 8pourcent

    < Back Mickael Toledano Faut-il céder aux sirènes du direct-to-consumer ? ​ < Back Marketing, Digital, Business L’appel du « direct-to-consumer » (D2C) se fait de plus en plus pressant chez les marques bien installées. Entre la marche (digitale) de l’Histoire et le succès des Digital Native Vertical Brands (DNVB) qui viennent challenger les leaders du marché, se lancer dans une stratégie D2C semble être LA solution miracle. Mais l’est-elle réellement pour vous ? Des succès qui font rêver… Qui n’a jamais rêvé de recevoir chez lui exactement ce dont il a besoin, au moment où il en a besoin, sans dépenser une fortune ni même avoir à y penser ? Ce rêve est devenu une réalité avec le lancement du Dollar Shave Club, qui livre à ses membres des lames de rasoir en fonction de leur fréquence de rasage et pour un prix défiant toute concurrence. C’est simple, efficace et ça marche. Ça marche même tellement bien que, 4 ans après le lancement du service, le géant Unilever a dépensé $1 milliard pour s’offrir le Dollar Shave Club . Ce succès, comme celui d’autres DNVB, inspire et porte l’attention sur un modèle pourtant ancien, revu et corrigé à la sauce digitale : la vente directe . Entre la maîtrise totale de l’expérience client, la collecte de données et la diminution des coûts, il n’en faut guère plus pour se laisser enchanter par cette stratégie idéale… sur le papier. On nait DNVB, on ne le devient pas ! Si changer de cap pour s’adapter aux nouvelles tendances de consommation est une nécessité, mieux vaut éviter de foncer toutes voiles dehors : gérer ses clients en direct implique des compétences particulières et des investissements massifs dans le développement d’une plateforme e-commerce, les ressources humaines et ou encore la logistique. Oui, vos canaux de distribution externes grignotent vos marges, vous privent d’une part des données client et vous dépossèdent de la maîtrise de l’expérience client. Mais ils assurent vos volumes de ventes et gèrent pour vous la relation client : seriez-vous prêt à vous passer totalement de leurs services ? Pas si sûr. Néanmoins, vous pouvez peut-être concilier les 2 ! D2C… or not D2C ? Réussir à s’approprier les bonnes pratiques des DNVB sans fragiliser sa position , c’est un véritable défi. Pourquoi vos clients achèteraient vos produits en direct plutôt que chez vos distributeurs ou sur une marketplace ? Grâce notamment à 3 ingrédients indispensables sur lesquels bâtir une véritable valeur ajoutée : Des produits exclusifs , uniques, voire personnalisés. Des services VIP de type « club » qui offrent des avantages améliorant l’expérience client au-delà des standards des géants du e-commerce. Des contenus qui enrichissent l’univers de la marque et l’utilisation des produits. Alors, prêt à vous lancer ? Vous l'aimé ? Donnez une note Je n'aime pas Pas super Satisfaisant Très bien J'adore Previous Next

  • Smart Cities ou le défi de faire adhérer les citoyens | 8pourcent

    < Back Mickaël Toledano Smart Cities ou le défi de faire adhérer les citoyens Villes de demain ou utopies ? < Back Digital, Ecologie D’après l’ONU, les villes représenteront plus de deux tiers de la population mondiale d’ici 2050 ! Elles doivent s'adapter aux grands enjeux de notre époque : la préservation de l’environnement, la démocratisation de l’espace public et les révolutions technologiques. Qu’est-ce que c’est une « Smart City »? Une Smart City est une ville qui utilise les technologies de l'information et de la communication pour améliorer la qualité de vie de ses habitants, optimiser ses infrastructures et services et favoriser la durabilité environnementale. Comment fonctionnent-elles ? Le modèle se fonde sur la récolte et l’utilisation massive de données en temps réel partout dans la ville : de votre compteur Linky aux caméras de surveillance en passant par les capteurs météorologiques, l’éventail de données ( que l’on nous promet anonymisées ) à la disposition des villes est considérable. Ces données permettent de nombreuses applications concrètes, comme planifier l’arrosage automatique des parcs selon les prévisions de pluie pour économiser de l’eau, modifier l’offre de transports en commun selon la demande en direct aux stations, indiquer les places de voiture libres à proximité pour réduire les trajets et libérer les routes, ou encore mieux gérer les ressources énergétiques, pour réaliser des économies et réduire les gaspillages. Les entreprises privées sont elles aussi invitées à utiliser ces données pour proposer un meilleur écosystème de services pour les citoyens, que ce soit en vous proposant de nouvelles offres de mobilités (trottinettes et vélos électriques en libre-service, VTC et autres services de taxis…) ou des offres de consommation (livraisons de consommation type Deliveroo). Les Smart Cities sont aussi des Green Cities L'objectif est de créer des villes plus respectueuses de l'environnement, en réduisant leur empreinte carbone et en favorisant une utilisation plus efficiente des ressources naturelles. Concrètement, le cap de la sobriété énergétique passe par la mise en place d’énergies et de transports décarbonés, ainsi qu’en limitant au mieux le gaspillage énergétique urbain en rénovant et isolant les bâtiments. Les Smart Cities, trop beau pour être vrai ? De nombreux projets ont été annulés tant les coûts à engager sont colossaux , et tant les habitudes ont évolué (télétravail, diminution des transports pendant les confinements…). Les Smart Cities font aussi l’objet de vives critiques sur l’utilisation et la récolte massives de données sur les habitants (consommations énergétiques, habitudes de déplacement, habitudes de consommation, etc…). Bien qu’elles soient censées être anonymisées, elles représentent une atteinte potentielle à la vie privée. Certaines villes arrivent à bien implémenter leur projet de Smart City. C’est par exemple de cas de la ville de Lyon qui a déployé des réseaux énergétiques intelligents capables de faire des prévisions et des économies d’énergie, ainsi qu’un centre de supervision globale de l’exploitation hydraulique de la ville pour préserver les ressources en eau. En plus de s’appuyer sur les progrès technologiques et privés, les Smart Cities peuvent compter sur des soutiens publics, car les villes intelligentes peuvent bénéficier de subventions écologiques mais aussi parce qu’elles contribuent fortement à l’attractivité et à la compétitivité de la ville sur le plan mondial. La technologie au service des habitants, pas au détriment des habitants On l’a vu récemment au sujet du vote sur la fin des trottinettes en libre service à Paris, de nombreux obstacles légaux et démocratiques se dressent face à ces projets, notamment sur le sujet des données & de l'impact sur la qualité de vie. D’ailleurs, le plus grand projet de Smart City mené par une filiale de Google au Canada a capoté en 2021, suite à la démission de leur "privacy expert" qui lui-même, dénonçait les risques d'atteinte à la vie privée de cette initiative ! Si la promesse client de Smart City tend plus vers un fonctionnement à la Big Brother, il y a fort à parier que la population se dressera vend debout et que la loi ne sera pas en faveur de telles initiatives dans les démocraties ! Encore une fois, la technologie doit être un moyen pour répondre aux attentes des citoyens : plus de démocratie, une meilleure information et animation locales, une meilleure gestion des transports et de la mobilité, la lutte contre la pollution de l'air, la gestion des plus âgés et de nos enfants, la sécurité, le développement économique, etc ... Vous l'aimé ? Donnez une note Je n'aime pas Pas super Satisfaisant Très bien J'adore Previous Next

  • Qu’est-ce qu’on ne regarde pas à la TV ce soir ? | 8pourcent

    < Back Mickael Toledano Qu’est-ce qu’on ne regarde pas à la TV ce soir ? Les nouvelles offres de SVoD comme Netflix ou Amazon Prime Video commencent à empiéter sérieusement sur les plates-bandes de la TV linéaire. < Back Transformation, Telecom La TV en direct a-t-elle des raisons de s’inquiéter … ? Même si la consommation de TV linéaire reste élevée en France, elle décroit sensiblement depuis 2017. En 2019 nous passons quotidiennement 3h30 devant la TV , soit 6 minutes de moins qu’en 2018 . Ce qui à l’échelle de toute une population n’est pas neutre. D’autant qu’en parallèle, les abonnés SVoD passent en moyenne 2h48 devant les programmes de ces nouveaux services . On peut se demander si les plateformes de SVoD supplanteront la TV live ? A première vue, la TV live, avec ses programmes en direct, son JT, ses retransmissions sportives, ses émissions d’information et d’entertainment, ses contenus locaux et ses films / séries n’a pas de raison de s’inquiéter. En effet, les plateformes de SVoD sont « seulement » positionnées dans l’acquisition de droits et la création originale de films et séries. A moins que… La SVoD est-elle en train de devenir le futur de la TV ? Avec des investissements de plus en plus mirobolants (compter une quinzaine de milliards de dollars cumulés pour Netflix et Amazon Prime Video en 2019 ) et qui surpassent ceux des éditeurs de chaines de TV françaises ou américaines , ces mastodontes pourraient bien redéfinir le paysage audiovisuel de demain. En effet, une part de ces investissements est placée dans la diffusion de contenus qui composaient l’apanage de la TV live : Retransmissions sportives : Roland Garros et Premier League chez Amazon, JO de Tokyo chez Peacock, rencontres sportives d’universités américaines prestigieuses chez Apple TV+. Emissions de divertissements : shows du soir de Jimmy Fallon avec trois heures d’avance et le Saturday Night Live en direct chez Peacock. Contenus locaux : Netflix investit dans les contenus locaux et prévoit une vingtaine de productions françaises en 2020. Live : Amazon permet même d’accéder à des chaines en direct. Une expérience SVoD qui redéfinit les standards d’usages De plus, ces plateformes de SVoD offrent une expérience utilisateur optimale qui redéfinit les standards d’usages audiovisuels. Recommandations ultra personnalisées, visionnage hors connexion, reprise de lecture en cours harmonisée sur tous les appareils, rappels de visionnage ect. L’expérience est fluide, sans coutures. Prenons l’exemple de Netflix qui a imposé le binge watching. Aujourd’hui l’impatience pointe si on doit attendre plus de 5 secondes pour voir l’épisode suivant de sa série en cours. Alors, que restera-t-il aux chaînes, notamment payantes, pour attirer encore des spectateurs ? Est-ce la fin annoncée de la TV linéaire ? Tout le monde n’est pas d’accord . Pour aller plus loin : CNC et CSA, La Vidéo à la Demande par Abonnement en France : Marché et Stratégie des Acteurs, 2018 SNPTV, Les Plus de la TV 2019, 2019 Vous l'aimé ? Donnez une note Je n'aime pas Pas super Satisfaisant Très bien J'adore Previous Next

  • Le virement instantané | 8pourcent

    < Back Raphael Bodard Le virement instantané une véritable révolution ? < Back Digital, Banque, Transformation Lancé en novembre 2017, l’Instant Payment (IP) permet de réaliser un virement bancaire en moins de dix secondes, 24h/24, 365 jours par an. Là où un virement classique peut prendre jusqu’à trois jours, le virement instantané est présenté comme une révolution en simplifiant, fluidifiant et accélérant nos transactions. Qu’en est-il réellement, véritable tournant de nos habitudes de paiement ou simple amélioration du virement ? Pour l’utilisateur, des cas d’usage totalement nouveaux L’Instant Payment (qui répond également au poétique « SCT Inst ») permet donc un transfert d’argent immédiat. Immédiat et également irrévocable . Ce sont ces deux notions qui permettent d’entrevoir ce à quoi pourraient ressembler nos échanges commerciaux de demain . Côté commerçant, plus de risque de chèque en bois ! Plus de chèque du tout d’ailleurs et avec eux les allers-retours à la banque pour les déposer. Plus de paiement par carte non plus, économie de la location du TPE et des frais bancaires sur chaque transaction. L’immédiateté de la transaction permet également de grandement simplifier la gestion de sa trésorerie . Pour les particuliers, le virement instantané est tout aussi révolutionnaire. Il permet de dépanner en urgence un proche par exemple, ou de régler son loyer sans retard dû à des jours fériés ou des weekends. Mais surtout, l’IP pourrait à terme devenir un moyen de paiement privilégié pour nos achats quotidiens ! Plus besoin de chèque de banque pour un gros achat, ni de retirer de l’argent pour acheter une télévision sur leboncoin, un meuble dans une brocante, ou des fraises sur un marché. L’argent est directement transféré sur le compte du bénéficiaire qui en dispose immédiatement et irrévocablement. De lourds investissements pour les banques qui freinent des quatre fers Et les banques dans tout ça ? Pour elles, l’équation est différente. Les paiements par carte constituent une source de revenu importante grâce aux commissions prélevées à chaque transition. Les virements classiques permettent quant à eux de subvenir aux besoins de liquidités des établissements lors de leurs délais de traitement. Délais de traitement longs, mais nécessaires pour anticiper, détecter et gérer les tentatives de fraudes lors de ces transactions. A presque 4 milliards de virements bancaires par an en France, le risque est important. Faire du paiement instantané une habitude de paiement n’est donc pas dans l’intérêt des banques. D’autant plus que le coût de mise en place d’une telle infrastructure technique est colossal et que le risque de fraude est plus important. C’est pour cette raison qu’aujourd’hui, presque toutes les banques capables d’émettre un virement instantané facturent ce service. Autour d’un euro pour la majorité, seule la Société Générale le propose à 80 centimes et gratuitement pour sa filiale Boursorama. Adosser de nouveaux services à l’IP pour fidéliser les clients. L’enjeu pour les banques traditionnelles est alors d’adosser de nouveaux services innovants pour faire du virement instantané un vecteur de fidélisation . Appelé Paylib entre amis, le service imaginé par la communauté inter-bancaire vous permet de transférer de l’argent à un particulier directement sur son compte bancaire, simplement avec son numéro de téléphone, en instantané. Le fonctionnement est simple. Pour qu’un virement puisse être réalisé en moins de dix secondes, il faut obligatoirement que l’ IBAN du bénéficiaire soit connu . L’idée est donc de passer par un identifiant « proxy », comme un numéro de téléphone ou une adresse mail qui est relié à cet IBAN. En vous inscrivant à Paylib directement depuis l’application de votre banque, votre numéro et adresse mail sont enregistrés dans l’annuaire Paylib et reliés à votre IBAN. Lorsque vous utilisez la fonctionnalité Paylib entre amis, vous n’avez qu’à renseigner le numéro de téléphone de votre bénéficiaire. Votre banque va ensuite consulter cet annuaire pour savoir si ce numéro est rattaché à un IBAN. S’il l’est, elle procèdera au transfert en SCT Inst. Pour recevoir un virement instantané, il faut donc être enrôlé à Paylib et donc avoir un compte dans une banque traditionnelle : fidélisation vous disais-je. C’est pourquoi ce service est aujourd’hui proposé sans frais supplémentaire et risque de devenir un enjeu majeur de la stratégie digitale des banques. Difficile donc de prédire quelle pratique s’imposera à terme. Faire payer un service pour profiter de sa rapidité est une pratique de moins en moins courante dans une société qui tend vers l’immédiateté. D’autant que de nouveaux services des géants américains (Facebook qui propose des virements via Messenger) ou des Fintechs (Lydia, Pumpkin) sont de la bataille. Quoi qu’il en soit, force est de constater que la question du digital dans le secteur bancaire a encore de beaux jours devant elle ! Vous l'aimé ? Donnez une note Je n'aime pas Pas super Satisfaisant Très bien J'adore Previous Next

  • Le podcast | 8pourcent

    < Back Raphael Bodard Le podcast Le nouveau format du marketing digital ? < Back Digital, Marketing Il y a quelques mois nous avions abordé l’explosion des plateformes de VoD de type Netflix. Aujourd’hui intéressons-nous au podcast, format de contenu audio à la demande. Une explosion du podcast en France Le podcast est l’ une des activités audio qui s’est le plus développée ces dernières années. En 2020, l’audience des podcasts s’élève à 12,3 millions d’auditeurs, soit une hausse de 14% par rapport à 2019 . Autre chiffre probant de l’engouement, au mois de Juin 2020, 99 millions de podcasts ont été téléchargés ou écoutés en streaming. Le podcast, sous sa forme de replay radio, existe déjà depuis plusieurs années : à chaque station et émission radio son podcast. Mais le format qui a le vent en poupe, c’est le podcast dit natif , contenu sonore conçu exclusivement pour une diffusion sur internet. Nous pouvons les retrouver sur des plateformes spécialisées, sur le site ou l’application de l’éditeur, ou encore sur un service de streaming musical (Spotify, Deezer, SoundCloud…). Un engouement qui ne cesse de croitre En effet, entre 2019 et 2020 c’est +48% d’auditeurs mensuels de podcasts natifs contre +9% d’auditeurs de radio en différée. L’offre de podcasts natifs se multiplie, tous les média se lancent. La presse écrite telle que Le Parisien avec Code Source ou Les Echos avec La Story , aussi bien que les chaines de TV comme Arte avec Arte Radio (précurseur en France). Du côté des pure players , nous pouvons citer Binge Audio, Louie Média, Sybel, Majelan ou Nouvelles Ecoutes. Si l’offre est en ébullition, c’est que la demande est forte, alors pourquoi le podcast séduit-il autant ? Pourquoi un tel succès ? La pénétration des smartphones, principal support d’écoute de podcast, a favorisé l’adoption de ce format. Le podcast est accessible tout le temps et n’importe où. Il s’écoute facilement en parallèle d’une autre activité, au rythme de notre quotidien. L’offre abondante permet de s’informer, d’apprendre, de se divertir. Les thématiques, critère de choix des auditeurs, sont multiples : business, culture, sport, bien-être, cuisine, humour, sujets sociétaux ; les formes et les durées sont variées. Les auditeurs plébiscitent un média qui propose des contenus vrais, authentiques et libres. Dans une période de dépendance aux écrans, le podcast ouvre un espace d’écoute, d’imaginaire. Une opportunité pour les marques de faire entendre leur voix ? LE nouveau format du marketing digital… « Dans une période de défiance vis-à-vis des marques, le podcast natif apparait comme un nouveau levier pour nouer ou renouer une relation de confiance avec les consommateurs. » Ce format permet de créer un espace d’intimité avec l’auditeur , qui favorise l’écoute et l’engagement. Les marques ont plusieurs moyens de communication sur ce format. Elles peuvent diffuser un spot audio classique, faire du sponsoring, participer en tant que speaker, voire produire leur propre podcast. Par exemple, la maison de parfum Guerlain lance en 2018 son podcast Olfaplay où « les senteurs s’écoutent et se racontent ». Le podcast permet de mettre en récit le parfum, en proposant des discussions autour des odeurs, des sensations qu’elles procurent et de leur pouvoir de réminiscence. Des interviews de personnalités de la maison croisent celles d’anonymes invités à enregistrer leurs anecdotes olfactives. Un podcast collaboratif qui permet à la maison de créer de l’engagement et de renforcer le lien avec sa communauté . …tant pour le luxe que la grande consommation Également, à l’occasion de leur cinquantenaire, le groupe de grande distribution Les Mousquetaires se raconte en podcast. A travers une narration qui traduit les évolutions de la société, des archives sonores et interviews, la marque fait découvrir au grand public son histoire, ses métiers et ses valeurs. C’est surtout l’occasion pour le groupe de partager à ses collaborateurs une vision commune et une aventure collective. La série fut distinguée « meilleur podcast de marque » lors du Salon de la Radio et de l’Audio Digital 2020. Ainsi, les marques s’emparent de la puissance évocatrice et narrative de la voix pour engager et fidéliser . Le podcast de marque apparait comme un terrain riche pour le brand content permettant de capter les auditeurs dans l’univers de la marque. L’ère de la communication visuelle va-t-elle laisser sa place à celle de l’audio ? Malgré l’apparente facilité d’entrée sur ce marché, la qualité d’écriture et de montage, l’authenticité de l’intervenant, l’exclusivité du contenu, sont autant d’attendus pour des consommateurs de plus en plus exigeants. Ce média vous intéresse ? Nous vous avons concocté quelques suggestions de podcasts/ Manuel Diaz Podcast Manuel Diaz nous partage de manière directe les problématiques du monde professionnel. Des conseils, outils et retours d’expériences concrets pour les managers et entrepreneurs. Plus de 400 épisodes courts façon snack content, à grignoter sans modération. Durée : 5 – 10 mins Type : podcast natif. Le gratin Pauline Laigneau entre en « conversation avec le succès », en nous partageant ses échanges avec des entrepreneurs et innovateurs. Elle nous propose également des « leçons », moments de coaching sur des thèmes variés : entreprenariat, business, marketing ou réseaux sociaux. Durée : 30 mins – 1h Type : podcast natif. Boomerang Augustin Trapenard nous donne rendez-vous avec ceux qui font l’actualité culturelle : acteurs, chanteurs, créateurs de mode, réalisateurs, écrivains… A travers des interviews piquantes et drôles nous partageons un moment d’intimité. Durée : 30 mins Type : radio replay. La petite philo Thibaut de Saint-Maurice nous permet d’appréhender la philosophie en l’appliquant au quotidien. Au programme : Ruwen Ogien pour apprendre à abandonner ses certitudes, Hannah Arendt pour discuter de l’autorité du savoir ou Spinoza pour nous aider à mieux connaitre notre motivation. Durée : 5 mins Type : radio replay. Vous l'aimé ? Donnez une note Je n'aime pas Pas super Satisfaisant Très bien J'adore Previous Next

  • Apple Card | 8pourcent

    < Back Raphaël Bodard Apple Card Le service peut-il s’implanter en France ? < Back Banque, Digital, Transformation Annoncée le 25 mars 2019, l’Apple Card est la dernière invention d’Apple en matière de service de paiement. L’idée : une carte physique entièrement gratuite, accompagnée de tous les services Apple. Ce nouveau produit devrait arriver durant l’été 2019 pour les Etats-Unis, aucune date en revanche ne concerne l’Europe. Certains parlent déjà d’une révolution dans le secteur bancaire. Cependant, certaines fonctionnalités de l’Apple Card risquent fort de ne jamais voir le jour en France. Une formidable idée marketing L’Apple Card est une carte de crédit dans le style classique de la firme à la pomme : très épuré. Plus de numéro de carte, plus de date d’expiration, plus de signature. Si vous êtes déjà un adepte du paiement mobile, elle s’intègre naturellement à l’application Wallet des terminaux Apple pour être compatible Apple Pay. En plus d’une carte physique, l’offre est complétée d’une application de gestion financière pour vous permettre de garder un œil averti sur vos dépenses, les catégoriser, retrouver via la géolocalisation quelles dépenses ont été effectuées à quel endroit. Tout cela est annoncé gratuit, sans frais supplémentaire à l’étranger. Le cashback, c’est quoi au juste ? Apple Card est le fruit d’une collaboration entre Apple, la banque d’investissement Goldman Sachs et le service de paiement Mastercard. Cette collaboration permet à la firme de Cupertino de proposer une offre de cashback jusqu’à 3% sur chaque transaction. Très répandu aux États-Unis mais relativement discret en France, le cashback consiste à rembourser au payeur, une partie du prix de son achat. Concrètement comment cela fonctionne-t-il ? Pour chaque transaction, la banque du commerçant doit s’acquitter de ce qu’on appelle une commission d’interchange . Il s’agit d’une partie du montant qu’elle doit reverser à la banque de l’acheteur ainsi qu’au scheme utilisé (Visa, Mastercard). Pour fidéliser leurs clients, les banques qui reçoivent cette commission d’interchange proposent d’en reverser une partie à ces derniers , c’est ce qu’on appelle le cashback. Apple annonce un cashback à 1% pour les transactions via la carte physique, 2% via ApplePay et même jusqu’à 3% de l’achat s’il s’agit d’un produit Apple. C’est là toute l’ambition de la marque : fidéliser ses utilisateurs. Les capter dans l’écosystème Apple en proposant un service gratuit adossé à une offre sur leurs produits. Le tout en devenant un intermédiaire financier majeur . Un marché européen trop différent Mais alors pourquoi l’Apple Card ne peut pas s’imposer en Europe en l’état ? Premièrement, le succès du cashback aux États-Unis réside dans le fait que les commissions d’interchange outre-Atlantique s’élèvent souvent à plus de 2% . En France, elles sont plafonnées à 0.3% . Pour nous proposer ce service, Apple devrait donc mettre la main à la poche, ou parvenir à modifier en profondeur la règlementation en matière de transaction financière. Impossible en l’état donc. De plus, l’Apple Card est une carte de crédit et non de débit. En France, la majorité des paiements du quotidien se font via une carte de débit qui, comme son nom l’indique, débite le compte bancaire rattaché à la carte. Une carte de crédit quant à elle est rattachée à un crédit renouvelable que le client rembourse mensuellement. Apple assure pratiquer des taux compris entre 13.2% et 24.4% ce qui reste relativement bas. Mais l’idée de financer sa vie quotidienne à crédit n’est pas tout à fait dans les mœurs des français, il faudra là aussi adapter son offre. Une règlementation européenne très stricte Dernière limite à apporter au déploiement de l’Apple Card en France, la sécurité des données . Aujourd’hui, la régulation autour de la sécurité des cartes en Europe réside autour de la puce intégrée à toutes les cartes. Apple Card, déplace cette sécurité au niveau du téléphone. Qu’en est-il alors des questions de sécurité technique et de conformité juridique ? Même chose concernant les données personnelles. En proposant ce service, Apple souhaite collecter davantage de nos données pour mieux comprendre nos habitudes de consommation . En Europe, ces données sont protégées par le RGPD . Il faudra à nouveau qu’Apple se plie à ces recommandations et adapte son offre pour la déployer.Plusieurs éléments sont donc à clarifier avant d’espérer voir arriver l’Apple Card en Europe. L’offre de la pomme est certes alléchante pour le public américain et risque de rencontrer un grand succès, mais les habitudes de paiement entre les deux continents son trop différentes pour proposer une offre commune. Quoi qu’il en soit, les ambitions d’Apple sont désormais parfaitement claires : se positionner comme véritable bulle de services autour de son iPhone , entièrement autonome. Et il sera intéressant de voir le milieu bancaire lutter, s’adapter ou faire de nouvelles propositions d’offre d’ici là. Vous l'aimé ? Donnez une note Je n'aime pas Pas super Satisfaisant Très bien J'adore Previous Next

  • Product management App mobile - Banque | 8pourcent

    < Back Product management App mobile - Banque Produit Comment animer, prioriser et assurer des releases régulières et à forte valeur ajoutée pour améliorer en permanence l’expérience utilisateur de plusieurs millions de clients ? Pilotage, Agilité, User stories, Cadrage Actions Nous avons : Analysé l’usage des services proposés et les feedbacks utilisateurs Nourri, structuré et priorisé le backlog fonctionnel pour assurer l’amélioration continue de l’expérience client sur des services variés : signature électronique, coffre-fort de document, remise de chèque dématérialisée… Assuré la conformité des innovations avec les partenaires internes (juristes, conformité, conseillers en agence…) Cadré les spécifications fonctionnelles, challengé l’UX et piloté les développements Managé les phases de tests utilisateurs Piloté la mise sur le marché des évolutions et la communication interne Livrables Cadrage fonctionnel Gestion des backlogs produits Management des sprints projets Gestion des planning et des risques Previous Next

  • Mentions légales | 8pourcent

    Mentions légales ​ Le présent site est la propriété de 8pourcent SAS ​ Coordonnées E-mail : contact@8pourcent.com La direction de la publication est assurée par Mickaël Toledano, co-fondateur. 1 Hébergeur OVH SAS au capital de 10 069 020 € RCS : Lille Métropole 424 761 419 00045 Code APE : 2620Z N° TVA : FR 22 424 761 419 Siège social : 2 rue Kellermann - 59100 Roubaix - France Directeur de la publication : Octave KLABA Président : Henryk KLABA Directeur général : Miroslaw KLABA Directeur général délégué : Octave KLABA Directeur général délégué : Halina KLABA 2 Droits et devoirs de l'utilisateur L'utilisateur du présent site reconnaît disposer de la compétence des moyens nécessaires pour accéder à ce site, l'utiliser et avoir vérifié que la configuration informatique utilisée ne contient aucun virus et qu'elle est en parfait état de fonctionnement. En conformité avec les dispositions du Règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016 (RGPD), l'utilisateur est notamment informé, conformément à cette loi que les informations qu'il communique par le biais des formulaires présents sur le site sont nécessaires pour répondre à sa demande, et sont destinées à 8pourcent, responsable du traitement. L'utilisateur est informé qu'il dispose d'un droit d'accès et de rectification portant sur les données le concernant auprès de cette même société. L'utilisateur est informé que lors de ses visites sur le site un cookie peut s'installer automatiquement sur son logiciel de navigation. Le cookie est un bloc de données qui ne permet pas de l'identifier mais qui sert à enregistrer des informations relatives à la navigation de celui-ci sur le site. 3 Utilisation des données du site Les utilisateurs du présent site sont tenus de respecter les dispositions de la loi relative à l'Informatique, aux fichiers et aux libertés, dont la violation est passible de sanctions pénales. Ils doivent notamment s'abstenir, s'agissant des informations nominatives auxquelles ils accèdent, de toute collecte, de toute utilisation détournée, et d'une manière générale, de tout acte susceptible de porter atteinte à la vie privée ou à la réputation des personnes. La structure générale, ainsi que les logiciels, textes, images animées ou non son savoir-faire, et tous autres éléments composants le site sont la propriété exclusive de 8pourcent. Toute représentation totale ou partielle de ce site par quelque procédé que ce soit, sans l'autorisation expresse de 8pourcent est interdite et constituerait une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle. Il en est de même des bases de données figurant sur le site web, qui sont protégées par les dispositions de la loi du 1er juillet 1998 portant transposition dans le Code de la propriété intellectuelle de la directive européenne du 11 mars 1996 relative à la protection juridique des bases de données.

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  • Une bonne expérience client ? | 8pourcent

    < Back Mickaël Toledano Une bonne expérience client ? Pense à Maman ! < Back Méthodologie, Digital, Transformation Nous avons tous comme priorité de « faire vivre une expérience client mémorable, unique, irréprochable… ». Oui mais voilà : une fois que l’on a écrit cela dans son plan stratégique, les problèmes commencent. Déjà, personne ne semble disposé à réellement « penser et travailler client ». Ensuite, on se confronte très vite à des problèmes multiples : « problèmes de budget », « problèmes de ressources », « problèmes politiques» etc. Bref, dans la vraie vie, le client passe souvent au second plan, même avec la meilleure volonté du monde. Alors que faire ?! Voici une petite astuce toute simple que j’utilise depuis plusieurs années : faites appel à votre maman (je veux dire, symboliquement bien sûr…). Invoquez la figure maternelle pour faire prendre conscience à vos équipes, à vos partenaires et à vos patrons, qu’en bout de chaîne de la majorité de vos projets innovants, il y a toujours une Maman, c’est-à-dire une personne à qui l’on tient, pour laquelle nous avons de l’amour et du respect. « Imagine que ta mère fait partie des utilisateurs de ton service : es-tu à l’aise avec ce que tu lui proposes comme service et comme expérience client ? ». Voilà une toute petite phrase qui remet dans l’esprit des équipes un fort niveau d’empathie indispensable à leur métier. Répétez-là régulièrement, et vous lutterez efficacement contre ce mal étrange qui touche certaines organisations qui ont du mal à penser client ! Cela ne résoudra pas tout, mais cela fera germer dans l’esprit de vos équipes ce petit feeling tellement indispensable pour améliorer l’expérience et le traitement de vos clients dans le monde réel ! Reste une dernière question : est-ce que cela marche aussi avec le père, l’épouse, le mari, les frères, les sœurs, les enfants… ?! Je vous laisse deviner… Vous l'aimé ? Donnez une note Je n'aime pas Pas super Satisfaisant Très bien J'adore Previous Next

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