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151 résultats trouvés avec une recherche vide

  • Priorisation opportunités business et market sizing - Médias | 8pourcent

    < Back Priorisation opportunités business et market sizing - Médias Stratégie CRM, Audit, User stories, Onboarding, Business plan, Pilotage, KPI, Parcours client, Cadrage, PME Suite à un nouveau positionnement stratégique, comment confirmer le potentiel business d’une nouvelle activité et identifier les marchés et prospects prioritaires à adresser ? Actions Analysé le produit : différenciation positive et négative vs concurrents, positionnement dans la gamme, … Analysé la chaîne de valeur vidéo et les acteurs clés, dans laquelle s’insère la promesse client Identifié les tendances d’usages de vidéos en B2B et B2B2C et les impacts en termes de besoins vidéos Réalisé un ciblage marché : sélection marchés prioritaires, identification de cibles potentielles en cohérence avec le scope produit, définition de critères de priorisation commerciale, définition des groupes de prospects Posé les hypothèses top down et bottom up pour construire un marché potentiel : ARPU, nb clients, … Construit et formalisé des objectifs commerciaux à 2 ans, en inbound et en outbound Livrables Recherche et qualification des marchés potentiels Chiffrages des opportunités business Priorisation des marchés à adresser Ciblage des prospects Previous Next

  • Project management Agile | 8pourcent

    < Back Raphaël Bordard Project management Agile La réussite assurée ? < Back Digital, Méthodologie, Management 30%. Depuis de nombreuses années ce chiffre qui fait référence au taux réussite des projets menés en entreprise, ne bouge pas vraiment. Il oscille parfois de quelques points selon les années et varie principalement en fonction de l’envergure et la durée des projets. Pourtant depuis plusieurs années se sont développées les méthodes Agiles, se voulant révolutionnaires et bien plus efficaces que les méthodes traditionnelles. Comment expliquer alors que le taux de réussite des projets reste constant chaque année ? Les méthodes Agiles, qu’est-ce que c’est ? Les méthodes agiles sont des approches de gestion de projet qui favorisent la flexibilité, la collaboration et l'adaptation aux changements. Il en existe de nombreuses variations, chacune ayant leurs spécificités (Scrum, Kanban, SaFe, XP, …), mais ces méthodes Agiles partagent toutes des principes communs tels que la communication fréquente entre les parties prenantes, la flexibilité face aux changements, l’autonomie des équipes ou encore la priorisation des attentes du client. La force de ces méthodes réside dans leur flexibilité : chaque méthode peut être adaptée en fonction des besoins spécifiques du projet et de l’équipe. Ces méthodes sont particulièrement bien adaptées au milieu de la technologie et du développement informatique, qui permet plus facilement la segmentation des livrables et qui incite plus à l’autonomie. Quelle est l’efficacité des méthodes Agiles ? D’après plusieurs études, le taux de réussite moyen d’un projet en méthode agile se situe aux alentours de 40%, contrairement aux méthodes purement linéaires qui avoisine les 12% de réussite en moyenne. Encore plus rassurant : les méthodes Agiles permettent de réduire le taux de projets échoués à 10% environ, là où les méthodes linéaires (Waterfall, V, ...) ont un taux d’échec de 30% en moyenne. Les méthodes Agiles permettent donc non seulement d’augmenter le taux de réussite des projets, mais permettent aussi de sauver les projets de la noyade ! Comment expliquer alors la stagnation du taux moyen de réussite des projets ? Pour mieux comprendre la différence entre ces chiffres, il faut prendre en compte le domaine d’application des méthodes Agiles. Comme mentionné précédemment, les méthodes agiles sont particulièrement efficaces dans le domaine de la technologie et du développement IT, un domaine qui a vu le nombre de projets exploser au cours de la dernière décennie, et qui est en constante augmentation. Les méthodes Agiles ont aussi su montrer leur efficacité dans le secteur des services, mais à moindre mesure. Ce sont donc les nombreux projets technologiques et de petite ampleur qui tirent les chiffres vers le haut. En revanche les secteurs plus traditionnels n’arrivent pas à aussi bien appliquer des méthodes purement Agiles, qui se prêtent moins à ces techniques de segmentation et de flexibilité extrêmes. Quelle méthode faut-il alors appliquer pour mettre toutes les chances de son côté ? Dans l’ensemble, les méthodes Agiles ont su faire leurs preuves. En revanche, plusieurs études apportent une nuance : la meilleure méthode serait … les deux méthodes à la fois ! D’après des recherches récentes sur des gestions de projets, le management de projet hybride aurait le meilleur taux de réussite de toutes les méthodes. En effet, les risques et désavantages d’une méthode seraient beaucoup plus facilement compensés par l’autre méthode. Plus précis encore, la meilleure de toutes les méthodes hybrides serait une méthode traditionnelle à laquelle on superpose une dimension Agile. Avec cette méthode, il est possible de garder le meilleur des deux méthodes : des bases de gestion traditionnelles solides (formalisation, planification, ...) auxquelles les managers et employés sont habituées, couplées à une communication continue et une meilleure flexibilité (découpage des livrables, itérations, ...). En conclusion, la meilleure méthode pour réussir votre projet, c’est à vous de la concevoir, en trouvant le parfait équilibre entre votre culture d'entreprise, le type de projet, le niveau d'innovation embarqué, et les compétences de vos équipes. Sans oublier que la méthode reste avant tout un moyen, et que réussir vos projets sera toujours un exercice compliqué, basé sur la qualité du travail collectif qu'il sera indispensable d'animer pour maximiser les chances d'atteindre vos objectifs. (source : "Chaos Report", Standish Group, 2011, 2015, 2020) Vous l'aimé ? Donnez une note Je n'aime pas Pas super Satisfaisant Très bien J'adore Previous Next

  • Apple Card | 8pourcent

    < Back Raphaël Bodard Apple Card Le service peut-il s’implanter en France ? < Back Banque, Digital, Transformation Annoncée le 25 mars 2019, l’Apple Card est la dernière invention d’Apple en matière de service de paiement. L’idée : une carte physique entièrement gratuite, accompagnée de tous les services Apple. Ce nouveau produit devrait arriver durant l’été 2019 pour les Etats-Unis, aucune date en revanche ne concerne l’Europe. Certains parlent déjà d’une révolution dans le secteur bancaire. Cependant, certaines fonctionnalités de l’Apple Card risquent fort de ne jamais voir le jour en France. Une formidable idée marketing L’Apple Card est une carte de crédit dans le style classique de la firme à la pomme : très épuré. Plus de numéro de carte, plus de date d’expiration, plus de signature. Si vous êtes déjà un adepte du paiement mobile, elle s’intègre naturellement à l’application Wallet des terminaux Apple pour être compatible Apple Pay. En plus d’une carte physique, l’offre est complétée d’une application de gestion financière pour vous permettre de garder un œil averti sur vos dépenses, les catégoriser, retrouver via la géolocalisation quelles dépenses ont été effectuées à quel endroit. Tout cela est annoncé gratuit, sans frais supplémentaire à l’étranger. Le cashback, c’est quoi au juste ? Apple Card est le fruit d’une collaboration entre Apple, la banque d’investissement Goldman Sachs et le service de paiement Mastercard. Cette collaboration permet à la firme de Cupertino de proposer une offre de cashback jusqu’à 3% sur chaque transaction. Très répandu aux États-Unis mais relativement discret en France, le cashback consiste à rembourser au payeur, une partie du prix de son achat. Concrètement comment cela fonctionne-t-il ? Pour chaque transaction, la banque du commerçant doit s’acquitter de ce qu’on appelle une commission d’interchange . Il s’agit d’une partie du montant qu’elle doit reverser à la banque de l’acheteur ainsi qu’au scheme utilisé (Visa, Mastercard). Pour fidéliser leurs clients, les banques qui reçoivent cette commission d’interchange proposent d’en reverser une partie à ces derniers , c’est ce qu’on appelle le cashback. Apple annonce un cashback à 1% pour les transactions via la carte physique, 2% via ApplePay et même jusqu’à 3% de l’achat s’il s’agit d’un produit Apple. C’est là toute l’ambition de la marque : fidéliser ses utilisateurs. Les capter dans l’écosystème Apple en proposant un service gratuit adossé à une offre sur leurs produits. Le tout en devenant un intermédiaire financier majeur . Un marché européen trop différent Mais alors pourquoi l’Apple Card ne peut pas s’imposer en Europe en l’état ? Premièrement, le succès du cashback aux États-Unis réside dans le fait que les commissions d’interchange outre-Atlantique s’élèvent souvent à plus de 2% . En France, elles sont plafonnées à 0.3% . Pour nous proposer ce service, Apple devrait donc mettre la main à la poche, ou parvenir à modifier en profondeur la règlementation en matière de transaction financière. Impossible en l’état donc. De plus, l’Apple Card est une carte de crédit et non de débit. En France, la majorité des paiements du quotidien se font via une carte de débit qui, comme son nom l’indique, débite le compte bancaire rattaché à la carte. Une carte de crédit quant à elle est rattachée à un crédit renouvelable que le client rembourse mensuellement. Apple assure pratiquer des taux compris entre 13.2% et 24.4% ce qui reste relativement bas. Mais l’idée de financer sa vie quotidienne à crédit n’est pas tout à fait dans les mœurs des français, il faudra là aussi adapter son offre. Une règlementation européenne très stricte Dernière limite à apporter au déploiement de l’Apple Card en France, la sécurité des données . Aujourd’hui, la régulation autour de la sécurité des cartes en Europe réside autour de la puce intégrée à toutes les cartes. Apple Card, déplace cette sécurité au niveau du téléphone. Qu’en est-il alors des questions de sécurité technique et de conformité juridique ? Même chose concernant les données personnelles. En proposant ce service, Apple souhaite collecter davantage de nos données pour mieux comprendre nos habitudes de consommation . En Europe, ces données sont protégées par le RGPD . Il faudra à nouveau qu’Apple se plie à ces recommandations et adapte son offre pour la déployer.Plusieurs éléments sont donc à clarifier avant d’espérer voir arriver l’Apple Card en Europe. L’offre de la pomme est certes alléchante pour le public américain et risque de rencontrer un grand succès, mais les habitudes de paiement entre les deux continents son trop différentes pour proposer une offre commune. Quoi qu’il en soit, les ambitions d’Apple sont désormais parfaitement claires : se positionner comme véritable bulle de services autour de son iPhone , entièrement autonome. Et il sera intéressant de voir le milieu bancaire lutter, s’adapter ou faire de nouvelles propositions d’offre d’ici là. Vous l'aimé ? Donnez une note Je n'aime pas Pas super Satisfaisant Très bien J'adore Previous Next

  • La Polynesian Tech candidate aux communautés French Tech | 8pourcent

    < Back Raphael Bodard La Polynesian Tech candidate aux communautés French Tech < Back Digital, Transformation Ia Orana. Chez 8pourcent, nous accompagnons depuis plusieurs années des clients polynésiens dans leur transformation digitale. Mais peut-on vraiment travailler sur la transformation digitale de Tahiti, au milieu des cocotiers, des cocktails, des lagons, et des traditions maories ? Ces conditions paradisiaques épargnent-elles les populations locales du tsunami digital qui émoustille tant le reste du monde ? Certes, le pays est magnifique. L’environnement est somptueux. La première impression en descendant de l’avion et en posant le pied sur le sol du « Fenua » est littéralement inoubliable. L’odeur de tiaré, le son du ukulélé, les sourires omniprésents, et ce soleil… ah ce soleil, cette mer, ces îles… On se dit alors que le numérique, le « digital », n’a rien à apporter, à transformer de cet environnement parfait. Et l’on a du mal à voir comment la « transformation numérique » mondiale, ou a minima française, pourrait être bénéfique à ce territoire à l’autre bout du monde. Et pourtant, nous avons récemment, et avec une fierté non dissimulée, soutenu la candidature de la Polynesian Tech aux Communautés numériques French Tech. Car la Polynésie française dispose d’atouts très nombreux que beaucoup de territoires de « métropole » pourraient lui envier, et peut bénéficier de cette « transformation » à de nombreux égards. Des atouts pour la France digitale Distante de 18.000 km de la métropole, et ouverte sur les grandes nations éloignées grâce à son rôle touristique et économique prépondérant, la Polynésie rayonne auprès des Etats-Unis, du Japon, de la Chine, de l’Australie, de la Nouvelle Zélande… et pourra relayer la vitrine technologique de la French Tech. Avec 12h de décalage horaire (11h en hiver), la Polynésie permettra à cette French Tech de rayonner dans le monde 24h sur 24 ! Grâce à leur culture, historiquement ouverte en raison de l’accueil et l’intégration de multiples communautés (maori, chinoise, anglaise, française, …) et viscéralement consciente de l’importance d’un développement respectueux de la nature, les Polynésiens peuvent apporter une richesse et une originalité de points de vue qui ne peuvent que booster les capacités de voir autrement les grands sujets d’innovation chers à la French Tech. Des bénéfices concrets pour la Polynésie française En tant que témoins opérationnels des efforts réalisés par les acteurs locaux, nous ne pouvons que plébisciter l’approche « FAIR.E » portée par Polynesian Tech : Fédérer, Accélérer, Innover, Rayonner, Engager. Les polynésiens ont toujours su tirer profit de la richesse de leurs multiples origines culturelles, de leur équilibre stable français et maori, et ces opportunités de fédérer autour d’un avenir numérique commun s’en trouveront renforcées. Déjà en 2011, dans son Plan de Développement de l’Economie Numérique de Polynésie française (« Te Ara Hotu »), Teva Rohfritsch, alors Ministre de la reconversion économique, écrivait : « l’économie numérique constitue une réelle voie nouvelle de développement du Pays et offre une opportunité à la Polynésie de se présenter au monde différemment ». Avouons-le : pour beaucoup, la Polynésie se résume aux lagons, aux couchers de soleil, à ses miss, et aux cocktails dans des hôtels de luxe sur pilotis. Le numérique nous invite enfin à dépasser ces clichés. Ce relais offert par les communautés French Tech est indispensable pour que cette image change et qu’elle se rapproche de la réalité polynésienne. La Polynésie est multiple : variée comme ses archipels et ses cultures, créative comme son « tamure » et ses artistes, riche d’histoire et de culture comme son « Heiva » , énergique et entreprenante comme le prouve son FIFO , le Digital Tahiti Festival et aujourd’hui Polynesian Tech ! Tant de projets, tant de « mana » , qui feront basculer ces îles magnifiques dans une nouvelle dimension, en résonnance parfaite avec les valeurs d’ouverture, d’inclusion et d’intégrité posées par la French Tech. Maruu’ru. Vous l'aimé ? Donnez une note Je n'aime pas Pas super Satisfaisant Très bien J'adore Previous Next

  • MECE | 8pourcent

    < Back Mickaël Toledano MECE c'est quoi et ça se prononce comment au fait ?! < Back Méthodologie Pour l'adepte des méthodes de problem solving comme pour le consultant en herbe, le principe MECE est un incontournable de la résolution de problèmes. Théorisé par Barbara Minto, ancienne consultante de McKinsey, MECE permet l'expression exhaustive et différenciée de toutes les dimensions d'un problème. Et si vous cherchez une occasion supplémentaire de briller lors de votre prochain dîner mondain, sachez que ce concept se prononce en réalité "MISS" et non "MICI", à l’instar de ce que pense la majorité des consultants en stratégie ! MECE: Mutually Exclusive Collectively Exhaustive MECE permet d’organiser efficacement les informations de façon à ce que chaque dimension identifiée du problème soit indépendante des autres et que le regroupement des différents sous-problèmes couvre le problème dans sa totalité. Mutually Exclusive Il n’y a pas de redondance entre les sous-problèmes ce qui permet une analyse indépendante et efficiente (car non dupliquée) de chacune des dimensions du problème. Collectively Exhaustive Toutes les sous-dimensions du problème sont prises en compte et couvrent l’ensemble du problème. Toutes les solutions possibles sont considérées. Différents frameworks peuvent être mobilisés pour construire une approche MECE. Nous les aborderons ultérieurement dans un autre article. Intérêt et applications du principe MECE Le principe MECE peut être utilisé dans de nombreux cas de figure et présente plusieurs atouts : Appréhender et structurer des problèmes en apparence très complexes pour en identifier les causes Gagner en efficacité et en rigueur dans son travail Faciliter le brainstorming et la génération de solutions innovantes et intelligentes Communiquer un état des lieux ou une recommandation de façon structurée et crédible Quelques points de vigilance MECE est une façon intelligente de structurer sa pensée plus qu’une méthode à appliquer sans réfléchir. Calquer des frameworks MECE sur un problème sans faire appel à son bon sens donne d’ailleurs bien souvent des résultats médiocres. Le principe MECE s’assimile par la pratique ! Notre vie quotidienne fournit un formidable terrain de jeu pour s’exercer à formaliser des approches MECE. Comment organiser les prochaines vacances ? Pourquoi suis-je toujours fatigué ? sont tant de questions qu’il est possible de traiter de façon MECE. Cet article vous a plu ? N’hésitez-pas à nous suivre sur LinkedIn pour en savoir plus sur notre cabinet et connaître toute notre actualité. Vous l'aimé ? Donnez une note Je n'aime pas Pas super Satisfaisant Très bien J'adore Previous Next

  • PO application mobile d'agrégation de comptes - Banque | 8pourcent

    < Back PO application mobile d'agrégation de comptes - Banque Produit Cadrage, Management, Agilité, User stories, Prototyping & test utilisateurs Comment proposer aux clients un service d’agrégation de comptes sans couture permettant une gestion de compte consolidée et unifiée ? Actions Nous avons : Etudié les solutions disponibles sur le marché (benchmark) Défini le positionnement du service dans l’écosystème de notre client. Animé un backlog produit et priorisé les travaux Animé des ateliers UX / UI, en collaboration avec la technique Challengé les équipes de développement Managé une équipe pluridisciplinaire. Rédaction des user stories Suivi des risques et reporting Analysé les KPI, et évolutions Livrables Cadrage fonctionnel Gestion de backlog produits Management des sprints projets Prototypes et tests utilisateurs Previous Next

  • Conformité RGPD app Mobile - Banque | 8pourcent

    < Back Conformité RGPD app Mobile - Banque Pilotage Benchmark, Cadrage, Process, Pilotage Comment intégrer les contraintes juridiques du Règlement Général pour la Protection des données dans le développement d’une application bancaire afin de permettre à l’utilisateur d’exercer ses droits ? Actions Nous avons : Réalisé un benchmark concurrentiel Consolidé les avis juridiques Ouvert un chantier de développement Cadré un espace in app de prise de connaissance des droits de l’utilisateur Cadré un formulaire d’exercice des droits in app Cadré la gestion des données du serveur, afin de pouvoir répondre aux exigences des utilisateurs souhaitant exercer leurs droits Créé un registre des traitements et des sous-traitants Intégré les questions juridiques dans les futures évolutions Livrables Benchmark concurrentiel Cadrage juridique Registre des traitements Processus de gestion des données Previous Next

  • Pilotage déploiement moyen d'authentification forte - Banque | 8pourcent

    < Back Pilotage déploiement moyen d'authentification forte - Banque Pilotage Parcours client, Pilotage, Déploiement, Management, Communication Comment accompagner les utilisateurs d’une application mobile bancaire à activer un service d’authentification forte dont l’utilisation devient obligatoire ? Actions Livrables Cadrage des parcours utilisateurs Déploiement auprès de 40 entités Communications au top management Gestion de la trajectoire, des plannings et des risques Previous Next

  • Le podcast | 8pourcent

    < Back Raphael Bodard Le podcast Le nouveau format du marketing digital ? < Back Digital, Marketing Il y a quelques mois nous avions abordé l’explosion des plateformes de VoD de type Netflix. Aujourd’hui intéressons-nous au podcast, format de contenu audio à la demande. Une explosion du podcast en France Le podcast est l’ une des activités audio qui s’est le plus développée ces dernières années. En 2020, l’audience des podcasts s’élève à 12,3 millions d’auditeurs, soit une hausse de 14% par rapport à 2019 . Autre chiffre probant de l’engouement, au mois de Juin 2020, 99 millions de podcasts ont été téléchargés ou écoutés en streaming. Le podcast, sous sa forme de replay radio, existe déjà depuis plusieurs années : à chaque station et émission radio son podcast. Mais le format qui a le vent en poupe, c’est le podcast dit natif , contenu sonore conçu exclusivement pour une diffusion sur internet. Nous pouvons les retrouver sur des plateformes spécialisées, sur le site ou l’application de l’éditeur, ou encore sur un service de streaming musical (Spotify, Deezer, SoundCloud…). Un engouement qui ne cesse de croitre En effet, entre 2019 et 2020 c’est +48% d’auditeurs mensuels de podcasts natifs contre +9% d’auditeurs de radio en différée. L’offre de podcasts natifs se multiplie, tous les média se lancent. La presse écrite telle que Le Parisien avec Code Source ou Les Echos avec La Story , aussi bien que les chaines de TV comme Arte avec Arte Radio (précurseur en France). Du côté des pure players , nous pouvons citer Binge Audio, Louie Média, Sybel, Majelan ou Nouvelles Ecoutes. Si l’offre est en ébullition, c’est que la demande est forte, alors pourquoi le podcast séduit-il autant ? Pourquoi un tel succès ? La pénétration des smartphones, principal support d’écoute de podcast, a favorisé l’adoption de ce format. Le podcast est accessible tout le temps et n’importe où. Il s’écoute facilement en parallèle d’une autre activité, au rythme de notre quotidien. L’offre abondante permet de s’informer, d’apprendre, de se divertir. Les thématiques, critère de choix des auditeurs, sont multiples : business, culture, sport, bien-être, cuisine, humour, sujets sociétaux ; les formes et les durées sont variées. Les auditeurs plébiscitent un média qui propose des contenus vrais, authentiques et libres. Dans une période de dépendance aux écrans, le podcast ouvre un espace d’écoute, d’imaginaire. Une opportunité pour les marques de faire entendre leur voix ? LE nouveau format du marketing digital… « Dans une période de défiance vis-à-vis des marques, le podcast natif apparait comme un nouveau levier pour nouer ou renouer une relation de confiance avec les consommateurs. » Ce format permet de créer un espace d’intimité avec l’auditeur , qui favorise l’écoute et l’engagement. Les marques ont plusieurs moyens de communication sur ce format. Elles peuvent diffuser un spot audio classique, faire du sponsoring, participer en tant que speaker, voire produire leur propre podcast. Par exemple, la maison de parfum Guerlain lance en 2018 son podcast Olfaplay où « les senteurs s’écoutent et se racontent ». Le podcast permet de mettre en récit le parfum, en proposant des discussions autour des odeurs, des sensations qu’elles procurent et de leur pouvoir de réminiscence. Des interviews de personnalités de la maison croisent celles d’anonymes invités à enregistrer leurs anecdotes olfactives. Un podcast collaboratif qui permet à la maison de créer de l’engagement et de renforcer le lien avec sa communauté . …tant pour le luxe que la grande consommation Également, à l’occasion de leur cinquantenaire, le groupe de grande distribution Les Mousquetaires se raconte en podcast. A travers une narration qui traduit les évolutions de la société, des archives sonores et interviews, la marque fait découvrir au grand public son histoire, ses métiers et ses valeurs. C’est surtout l’occasion pour le groupe de partager à ses collaborateurs une vision commune et une aventure collective. La série fut distinguée « meilleur podcast de marque » lors du Salon de la Radio et de l’Audio Digital 2020. Ainsi, les marques s’emparent de la puissance évocatrice et narrative de la voix pour engager et fidéliser . Le podcast de marque apparait comme un terrain riche pour le brand content permettant de capter les auditeurs dans l’univers de la marque. L’ère de la communication visuelle va-t-elle laisser sa place à celle de l’audio ? Malgré l’apparente facilité d’entrée sur ce marché, la qualité d’écriture et de montage, l’authenticité de l’intervenant, l’exclusivité du contenu, sont autant d’attendus pour des consommateurs de plus en plus exigeants. Ce média vous intéresse ? Nous vous avons concocté quelques suggestions de podcasts/ Manuel Diaz Podcast Manuel Diaz nous partage de manière directe les problématiques du monde professionnel. Des conseils, outils et retours d’expériences concrets pour les managers et entrepreneurs. Plus de 400 épisodes courts façon snack content, à grignoter sans modération. Durée : 5 – 10 mins Type : podcast natif. Le gratin Pauline Laigneau entre en « conversation avec le succès », en nous partageant ses échanges avec des entrepreneurs et innovateurs. Elle nous propose également des « leçons », moments de coaching sur des thèmes variés : entreprenariat, business, marketing ou réseaux sociaux. Durée : 30 mins – 1h Type : podcast natif. Boomerang Augustin Trapenard nous donne rendez-vous avec ceux qui font l’actualité culturelle : acteurs, chanteurs, créateurs de mode, réalisateurs, écrivains… A travers des interviews piquantes et drôles nous partageons un moment d’intimité. Durée : 30 mins Type : radio replay. La petite philo Thibaut de Saint-Maurice nous permet d’appréhender la philosophie en l’appliquant au quotidien. Au programme : Ruwen Ogien pour apprendre à abandonner ses certitudes, Hannah Arendt pour discuter de l’autorité du savoir ou Spinoza pour nous aider à mieux connaitre notre motivation. Durée : 5 mins Type : radio replay. Vous l'aimé ? Donnez une note Je n'aime pas Pas super Satisfaisant Très bien J'adore Previous Next

  • Recadrage et management projets e-business - Retail | 8pourcent

    < Back Recadrage et management projets e-business - Retail Pilotage Pilotage, Management, Roadmap, Business plan, PME Comment redonner de la structure, de la méthode et du contrôle sur la définition de la roadmap de projets IT et de son pilotage mensuel ? Actions Nous avons : Redéfini les critères de priorisation des projets Remis à plat la roadmap de projets DSI Restructuré les supports de pilotage de façon factuelle et objective Assuré le suivi des projets, l’analyse de risque, le suivi des actions Préparé, animé et suivi les comités hebdo de synchro métiers / IT Rationalisé le recours aux ressources restreintes de développement sur les projets Livrables Réalignement de la vision Réalignement des objectifs Management de planning Pilotage budgétaire / Ressources Previous Next

  • Evaluation de use cases et de leur potentiel business - Fintech | 8pourcent

    < Back Evaluation de use cases et de leur potentiel business - Fintech Stratégie Cadrage, Pilotage, Gouvernance, KPI, Process, Business plan, Benchmark, PME Comment élargir le business d’une plateforme technologique de paiement du marché de la bank-as-a-service au marché plus large de l’embedded payment. Quels sont les use cases les plus prometteurs pour diversifier l’activité ? Actions Etudié les caractéristiques produit de la plateforme de bank as a service ainsi que les produits technos concurrents Etudié les caractéristiques des acteurs cibles concernés par les 10 use cases pour bien comprendre leurs enjeux business (rentabilité, conquête, fidélisation) & d’efficacité opérationnelle Analysé les process clés de ces 10 types d’acteurs, futurs prospects potentiels Rencontré des dirigeants d’entreprises cibles potentielles & évalué les bénéfices de l’intégration de briques innovantes de paiement as a service (pay in, pay out, issuing, …) dans leurs activités Proposé une priorisation des use cases en fonction de critères rationnels de potentiel marché Sélectionné les use cases à travailler en priorité sur le plan commercial, listé tous les prospects à plus fort potentiel à adresser et réalisé les supports de prospection commerciale customisé pour chaque prospect Redéfini le site internet en clarifiant les features produits et les bénéfices clients pour chaque use case afin de soutenir l’effort marketing et commercial Livrables Etude des marchés et des acteurs Chiffrages des opportunités business Priorisation des marchés à adresser Ciblage des prospects Previous Next

  • Assistants vocaux versus utilisateurs | 8pourcent

    < Back Clmence guerrier de Dumast Assistants vocaux versus utilisateurs Qui sont les assistants de qui ? < Back Transformation, Digital, IA « Ok Google, quelle heure est-il ?» « Il est 15h06 » Ce dialogue se déroule entre deux intelligences. Je « discute » avec mon assistant vocal. Au-delà des geekeries en tout genre et des opportunités business alléchantes, je m’interroge sur les réels bénéfices, aussi bien « pratiques » que « éthiques », de ces nouveaux invités dans nos maisons. Petit boitier en plastique, l’assistant vocal concentre des solutions épatantes d’intelligence artificielle et de reconnaissance vocale. Il obéit à la voix plutôt qu’au doigt. Je pose ma question et cette petite enceinte m’apporte la réponse. Enfin normalement. Tout ce petit monde fonctionne avec le Wi-fi, minutieusement orchestré par les GAFA. Pas de jaloux, chacun le sien : Alexa pour Amazon, Google Home pour Google, HomePod pour Apple, Invoke pour Microsoft… Côté business, le Web vocal est au cœur de marchés sous-jacents très lucratifs avec des externalités positives pour ces GAFA : e-commerce, services multimédia (musique, jeux vidéo, …), ventes de données utilisateurs et publicités. Mon expérience de discussion avec des assistants vocaux me laisse croire à des marges de progression intéressantes pour parvenir à me convaincre. Pour une utilisation basico-basique, ça fait le job. Mais, curiosité oblige et passion de la discussion, dès que je pose des questions plus « complexes », c’est à moi de m’adapter au « cerveau » de mon assistant vocal. Je dois trouver la bonne façon de poser ma question pour espérer obtenir la réponse recherchée … Je deviens donc l’assistant de mon assistant. Contre-intuitif ! En effet, les assistants vocaux se concentrent uniquement sur les mots clés au détriment de la bonne syntaxe ou du langage naturel, pourtant essentiel dans tout dialogue. Comment ce petit boitier, gentiment posé sur ma gondole, mais véritable espion de mon quotidien, utilise toutes les informations qu’il capte ? Nous sommes bien loin de la devise des assistants : « Tout entendre et ne rien dire ». Car, parait-il, les GAFA revendent ces données à des fins publicitaires. Par conséquence, l’assistant vocal me propose une seule façon de voir les choses en me proposant une réponse unique car : les annonceurs paient pour être cités avant ou à la place d’un autre, les éditeurs privilégient leurs services. C’est pourtant tellement enrichissant d’être face à une diversité de points de vue. Discuter avec son assistant vocal, c’est surtout être conscient d’interagir avec une intelligence qui n’est pas absolue mais artificielle… et qui repose avant tout sur des cerveaux humains indispensables et irremplaçables, dotés d’esprit critique et de qualités relationnelles. Vous l'aimé ? Donnez une note Je n'aime pas Pas super Satisfaisant Très bien J'adore Previous Next

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